Fessée devant les invités

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il y a 6 ans

Pour moi la fessée arrivait de temps en temps, et ma mère se moquait qu’il y ait des gens ou pas dans les alentours. La dernière fessée que j’ai reçue, en présence de plusieurs membres de la famille et d’un couple de voisins.

Mes parents avaient organisé un déjeuner avant de partir en vacances, et je devais les rejoindre à la maison. Le matin j’étais allée voir une copine, on avait discuté avec des garçons, et je ne faisais pas attention à l’heure, si bien que je suis arrivée en retard d’une bonne demi-heure.

Papa et maman m’attendaient, mécontents, mais personne n’avait terminé l’apéritif : pour moi il n’y avait rien de grave. Ma mère me réprimanda quand même, et je commençai à lui répondre : à cet âge je commençais à me rebeller un peu. Un « Nathalie ça suffit maintenant ! » stoppa mes envies de répondre, surtout quand ma mère ajouta :

« C’est quoi cette façon de répondre ? Tu veux une fessée devant tout le monde ?! »

Je baissai la tête et arrêtai mon insolence.

Le repas se déroula sans histoire, et après déjeuner quelqu’un proposa de faire une partie de badminton. Cela ne me tentait pas mais j’aimais quand même regarder. Après un certain temps, un des invités dit :

« Et Nathalie elle ne joue pas ? »

Ma mère ne trouva rien d’autre que de répondre qu’effectivement cela serait sympa de ma part. J’expliquais que je n’avais pas trop envie, que je jouerai plus tard, etc. et ma mère insista :

« Ce n’est pas quand tout le monde s’en ira que tu commenceras à jouer quand même ? »

S’instaura un échange, je répondis :

« Mais ça va, je vais jouer, mais laissez moi le temps ! »

Comme j’avais commencé à m’énerver, je rajoutai :

« En plus je suis en jupe et il faut que j’aille me changer ! »

Le ton que j’employais déplut à ma mère :

« Nathalie tu es priée de rester aimable ! »

Et là, la voisine qui était invitée regarda son mari et s’en mêla :

« Eh bien elle a du caractère ! On ne parle pas comme cela à sa maman. »

Je répliquai :

« Oh vous ça, va on vous a pas sonnée ! »

Ma mère hurla « Nathalie ! ».Et je la regardai en la défiant.

« Ça va je vais dans ma chambre et d’abord vous me faites chier ! »

Tout le monde me regarda, effaré que je lui réponde comme cela. Ma mère pâlit, me dévisagea, je me rendis compte de ma bêtise et me repris :

« Non, je ne voulais pas dire ça, mais … »

Je ne pus pas terminer ma phrase : ma mère fondit sur moi et me dit d’une voix froide :

« Alors là, ma belle, tu vas t’en souvenir.»

Elle m’attrapa par le bras et m’amena vers la table de jardin qui était débarrassée. J’étais tétanisée, je ne voulais pas croire qu’elle me corrigerait ici, devant les invités, et pourtant…

« Tu vas voir, je te garantis que tu vas avoir la honte de ta vie et que je vais te calmer ! » reprit-elle.

Elle me pencha vers la table, et releva prestement ma jupe, devant tout le monde. Je n’osais plus bouger. Ses mains saisirent l’élastique de ma culotte, qu’elle baissa d’un trait aux chevilles. Je s a n g lotais. Et je reçus une fessée comme jamais je n’en avais reçu, cul nu devant tout le monde. Aujourd’hui encore il m’arrive d’en rêver et je me suis promis de ne jamais donner de fessée !

Nathalie

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